REFUS D'AVANCEMENT

Le refus d’avancement ne doit pas être perçu comme la seule résultante de l’étude de la légitimité de la demande.

En effet, le rôle de l’employeur est de gérer une entreprise, impliquant la prise en charge de différentes notions.

La décision de l'employeur doit être le reflet de deux analyses simultanées.
La notion de la dimension humaine, sans laquelle le développement ne peut avoir lieu, mais également, celle liée à la productivité, le coût et l’acheminent de la production

La décision du refus d'avancement

L’employeur doit donc gérer la productivité, un élément prépondérant à la santé de l’entreprise, mais pas seulement.
Il doit également entretenir de bons rapports avec les salariés, une mission très importante qu’aucune loi ne peut entourer, mais qui s’avère être essentielle.

Le ressenti de l'employé

Un salarié peut se considérer être en droit de demander un avancement pour des motifs légitimes. En cas de refus, il ne peut en mesurer réellement les vraies causes, laissant un sentiment d’injustice prendre place.

Afin d’éviter une mauvaise compréhension, il est important que l’employeur explique les raisons de son refus. Une initiative d’autant plus importante, qu’elle permet une transparence dans la relation employeur/employé.

Questions fréquentes

Un refus d’avancement est-il une décision définitive ?
Non, l’entreprise se développe et peut prétendre améliorer sa situation économique, tout comme le salarié peut également évoluer au sein de l’entreprise.

Un salarié peut-il contester le refus d’avancement ?
Oui, mais il doit démontrer que ses motifs doivent impliquer un avancement et que l’entreprise peut prendre en charge ledit avancement, sans que sa gestion n’en soit affectée. Les arguments devront être étudiés une nouvelle fois par l’employeur, sans pour autant être dans l’obligation d’une réponse favorable